MAXIMUM DOULGAS ONLINE ! ! !

Bonjour et bienvenue sur le blog de Douglas. Ce blog servira, à restituer l'actualité du label et des groupes qui s'y seront perdus. En attendant que ce label voie vraiment le jour, ce blog fera plutôt office de carnet de bord et il y sera traité toutes les étapes de cette petite odyssée.

lundi 14 décembre 2009

Pour ceux qui comprennent le neerlandais... (2)

Vu sur le site Zwäre Metalen (et traduit via google, héhé!) :

"En termes de post hardcore / menuiserie métallique La France continue de Nice sur la route.Des groupes comme Overmars et Year of No Light mai ne pas être les meilleurs noms connus dans ce sous-genre, mais ils font certainement pas la qualité pour le meilleur savoir-parents Neurosis dans ce monde. Également en provenance de Bordeaux Appollonia livre son second album White Solstice d'une carte d'excellentes affaires hors tension.

Quand je Promo première fois de ma main, je n'ai pas vraiment tout à fait ce que j'avais prévu.La couverture donne également assez vague et aucune indication sur le www il est sacrément peu d'informations disponibles sur ce trio. Sur la surprise agréable d'emploi Appollonia pour moi alors, et elle est très réussie! Pour Nameless Sons est d'emblée un mur de guitares construites avec une nature en propulsion Nice. Même en dépit du peu modérer ce son de batterie est sacrément accrocheuse et vous allez rapidement menées par la violence sonore massive. Iota est encore dans l'explosion d'une foudroyante beat sorti de l'armoire. Pourtant, il n'est pas le pouvoir vraiment brut, que le groupe défend. Il ya des moments calmes, trop souvent insérés à travers des passages de la mélancolie qui, parfois, tout à fait surprenante pour un groupe comme Amesoeurs réminiscence. Listen to My Foe la plus proche et vous comprenez ce que je veux dire.
Pourtant, j'ai l'idée convaincante que le groupe encore meilleur. Mais après un départ écouter une impression considérable gauche est la plaque au cours des sessions ultérieures dans mon esprit n'est pas vraiment grandi. Les trois hommes semblent parfois un peu trop à faire à leur meilleur et très excitant d'être et qui est malheureusement un peu au détriment de l'intensité et l'expérience, comme l'envie japonais peuvent transmettre si bien. Malgré cela, un communiqué de beau!"

lundi 7 décembre 2009

Pour ceux qui comprennent le neerlandais...

... Moi, je le comprends pas :

"'Put Our Names On The Walls Of Your City' is het volwaardige debuut van het vanuit Bordeaux opererende Pretty Mary Dies. Na de in eigen beheer verschenen albums 'I Only Saw The Eye' en 'Then The Locusts Came' zijn ze opgenomen in de al even Franse stal Maximum Douglas Records. Daar stopt the French connection. Muzikaal presenteert Pretty Mary Dies een consistente stijl op 'Put Our Names ...' die naar eigen zeggen beïnvloed is door Botch en Converge. Behalve dat hoor je ook een straffe mélange van oudere metalcore en mathcore (jaren '90) en een jonge Mastodon(zeker qua riffs). Pretty Mary Dies is geen goedkope band die profiteert op een of andere populaire golf, maar probeert te volharden in een aantal elementen en kenmerken om tot een geluid te komen dat misschien niet uniek maar hen wel eigen is."

mardi 20 octobre 2009

Appollonia - blank solstice en streming complet

ça se passe sur le myspace du groupe ici!


Vous pouvez toujours précommander l'album ici.




mardi 6 octobre 2009

Une petite interview

Pour ceux que ça intéresse, une petite interview de moi même recueillie par M. Jérôme "Kalcha" aujourd'hui même:


1- Pouvez-vous présenter en quelques mots votre label (date de création, style musical, nombres de sorties, formats proposés, philosophie, etc.)

MDR, c’est un petit label associatif spécialisé dans les musiques plutôt dures (punk, hardcore, noise, voire metal, etc.), le label n’a pas encore soufflé sa première bougie pusiqu’il fût crée le 31/12/2008 aux environs de minuit (je te laisse imaginer dans quel état). Aujourd’hui, on en est à deux sorties effectives mais trois autres rondelles débarquerons d’ici la fin de l’année. Au niveau des format, c’est varié : deux cd pressés, deux CD-R et un pack 33tour+cd… Et du numérique via CD1D et Zimbalabam ! On est en train de se poser la question de la cassette audio et de la clef USB aussi.


2- Qu'est-ce qui vous a amenés à créer votre propre label? Y a-t-il d'autres labels qui vous ont inspirés auparavant?

La principale chose qui m’a poussé à me fourrer là dedans, c’est bien sûr la passion, mais aussi l’envie de voir certains groupes sortir des disques pressés et, bien sûr, le constat du déséquilibre catastrophique entre la grosse industrie du disque et les petits indépendants. Pour l’inspiration Ipecac bien sûr (tout le monde va dire ça non ?) mais aussi Hydra Head, Basement Apes, Tredkill et pas mal d’autres encore.


3- Pour vous que doit-être un label indépendant? L'aspect financier est-il la seul différence avec un label d'une major? Les labels indés d'aujourd'hui sont-ils différents des labels indés des décennies précédentes?

Déjà qu’est ce que tu entends par indépendant ? Wagram, naïve et Dreyfus sont des indépendants et leur CA n’a strictement rien à voir avec le mien (heureusement pour eux !). L’indépendance, à mon niveau, se situe plus du point de vue esthétique : il s’agit avant tout de sortir des disques que j’aimerais acheter en espérant dans un second temps que d’autres auront l’idée d’ouvrir leur porte feuille. Quant à la différence entre les indés d’aujourd’hui et ceux d’il y a 10 piges, c’est une trop vaste question mais la réponse contient très probablement les expressions « crise du disque » et « dématérialisation de la musique ».


4- Que prenez-vous en charge exactement: promo? fabrication? production? autre?

La fabrication bien sûr (quoi qu’une de mes références est en co-production) ainsi que de la promo (des envois postaux surtout… Pas trop d’encarts promo, trop pauvre !). Dans le cas de certains de mes groupes je prend également des aspects liés au management, au booking et au développement d’artiste (enfin, j’aimerais bien pour ce dernier).


5- Êtes-vous encore attachés à l'objet ou préférez-vous les sorties numériques? Quels avantages et inconvénients y voyez-vous?

Je suis très attaché à l’objet et je n’en démordrai pas tant que les presseurs n’auront pas multiplié leur tarifs par deux. Après le numérique, c’est l’avenir et je ne lui tourne pas le dos mais dans ma vision de la chose, le numérique n’est que l’outil menant au physique. Je suis un vieux con avant l’heure.


6- Votre rapport à Internet? Serait-il possible de poursuivre sans?

Par contre, Internet, c’est primordial pour moi ! j’admirerai toujours les vieux de la vieille qui savent encore s’en passer un maximum avec un téléphone et un bon carnet d’adresse. Déjà grâce à Internet, on peut joindre beaucoup plus de monde très facilement et surtout garder une trace des échanges. En plus, pour un grand timide comme moi, le web est salutaire dans ce que je fais.


7- Qu'est-ce qui est le plus dur pour un label indépendant aujourd'hui?

Survivre clairement. Produire un disque coûte cher et le vendre coûte encore plus cher et demande encore plus de travail. Se faire connaître, emmener les gens à écouter les productions, exister, avoir une légitimité. Après il y a pas mal d’outils qui simplifient la vie : on a déjà évoqué Internet et CD1D.com, mais on peut aussi parler des fédérations de producteurs comme la toute jeune FEPPAL en pays de la Loire dont je suis le secrétaire.


8- Financièrement, est-ce que le label est déficitaire? Équilibré? Bénéficiaire?

Déficitaire et il le restera jusqu’à qu’un miracle se produise ou jusqu’à ce que je décide d’arrêter les frais… En attendant, je le considère aussi comme un hobbie et n’hésite pas à y injecter un peu d’argent. J’ai été subventionné qui plus est.


9- Pensez-vous qu'un label doit se spécialiser dans une niche musicale précise pour exister?

Idéalement oui. Je n’ai pas beaucoup de considération pour les gros labels qui vendent de tout et n’importe quoi juste parce que ça marche. Les petits indépendants, quant à eux, n’ont pas trop le choix s’il veulent se faire un nom et un public. De plus je n’ai pas le bon carnet d’adresse pour promouvoir de la country par exemple. Par contre il y a toujours des contre exemples comme Ipecac ou Hydra Head qui se permettent beaucoup de choses esthétiquement, mais dans le cas d’Ipecac, ils avaient déjà un beau catalogue avant même de commencer (M. Bungle, Fantômas) et Hydra Head se sont diversifiés après une bonne dizaine année de hardcore !


10- En quoi un label est-il encore utile aujourd'hui où tous les intermédiaires entre l'artiste et l'auditeur semblent disparaître?

Un label apporte du fric déjà. Il apporte aussi une direction politique (au sens large) ainsi qu’une cohérence en intégrant un artiste dans un catalogue (ce qui rejoins la question précédent de la niche musicale). Après, je suis d’accord, c’est un modèle qui périclite un peu. Mais pour ma part je me suis toujours presque autant intéressé au label qu’à l’artiste et j’espère ne pas être le seul.

vendredi 2 octobre 2009

Un peu d'activisme

Comme vous ne le savez probablement pas, Maximum Douglas Records fait partie de la FEPPAL (Fédération des Editeurs et Producteurs phonographiques en Pays de la Loire). Pour faire court, c'est un outil qui permet aux labels et aux éditeurs de la régions de se rassembler, de se structurer et de réfléchir ensemble à des problématiques communes. C'est aussi un moyen comme un autre d'essayer d'avoir un poids et une visibilité dans le monde du disque en tant que modeste indépendant.

Et bien cette toute jeune FEPPAL voit sa "naissance médiatique" approcher à grand pas avec une conférence de presse prévue le mardi 6 octobre 2006 au Chabada à 10h30 (pile poil pour le p'tit dej'). Sont attendus donc journalistes, activistes, producteurs, éditeurs, musiciens, mais aussi n'importe qui s'intéressant un temps soit peu à ces problématiques.

Plus d'infos sur le site de la FEPPAL.

mardi 25 août 2009

Des chroniques

La principale récompense aux efforts du musicien et à ceux du producteur (c'est ce qui nous intéresse ici non?) c'est des bonnes chroniques. Des compliments, du redactionnel enflammé, de la reconnaissance, etc.

Et bien voilà, je suis content... Jugez par vous même:

Pretty Mary Dies

W-Fenec
Next Clues


Kilø

vendredi 7 août 2009

Enfin du solide ! ! !



Pleins de bonnes nouvelles en ce moment!

Appollonia ont fait leur aller retour au mix'em all studio avec Franck Hueso (Hacride, inside Conflict, etc.) et en son revenu avec 8 titres merveilleux qui constituerons Blank Solstice, leur second album, en coprod avec votre serviteur... Plus de détails là dessus très bientôt!

Les angevins de Kilø prennent plus leur temps puisqu'ils enregistrent durant tout le mois d'Août au Dome Studio avec David Potvin (Lyzanxia, One way miror, etc.) ... Les premiers sons qui sortent de tout ça laissent présager de très très bonnes choses... Plus de détails là dessus très bientôt!

Sinon, et pour parfaire tout ça j'ai enfin reçu les cd de pretty mary dies fraichements pressés et ils sont magnifiques! En parallelle je grave des CD-R de Kilø. Tout ça sera dispo en septembre le temps que de gentils chroniqueurs me torchent un papier dessus.

Stay tuned!